Journal / Révolution COURBET / Idée reçue n°2 • “Le diamant de synthèse L’appellation “diamant de synthèse” peut induire en erreur car, dans notre imaginaire, le synthétique est facilement associé à l’artificiel. Pourtant, dans le cas du diamant de laboratoire, des conditions de formation différentes permettent un résultat égal, tant par ses propriétés optiques que physiques; l’impact écologique en moins. La terminologie imposée ne reflète pas la juste valeur des diamants cultivés grâce au génie humain: cet astérisque vert symbolise le combat pour l’acceptation d’un nom plus juste. n’est pas rare”
19 FÉVRIER 2021

Idée reçue n°2 • “Le diamant de synthèse n’est ni rare ni précieux”

Le diamant de synthèse L’appellation “diamant de synthèse” peut induire en erreur car, dans notre imaginaire, le synthétique est facilement associé à l’artificiel. Pourtant, dans le cas du diamant de laboratoire, des conditions de formation différentes permettent un résultat égal, tant par ses propriétés optiques que physiques; l’impact écologique en moins. La terminologie imposée ne reflète pas la juste valeur des diamants cultivés grâce au génie humain: cet astérisque vert symbolise le combat pour l’acceptation d’un nom plus juste. représente 3% de la production mondiale de diamant. Il est donc 30 fois plus rare que le diamant de mine. Pourtant, le mythe de la rareté, qui fait du diamant une pierre si précieuse, est souvent opposé au diamant créé en laboratoire. On le croit facilement et rapidement reproductible, voire même produit en série. Une idée reçue qu’il convient de corriger, car chaque pierre cultivée en laboratoire est unique et authentique.

Les années 50 ont vu les premières tentatives de création de diamants de synthèse L’appellation “diamant de synthèse” peut induire en erreur car, dans notre imaginaire, le synthétique est facilement associé à l’artificiel. Pourtant, dans le cas du diamant de laboratoire, des conditions de formation différentes permettent un résultat égal, tant par ses propriétés optiques que physiques; l’impact écologique en moins. La terminologie imposée ne reflète pas la juste valeur des diamants cultivés grâce au génie humain: cet astérisque vert symbolise le combat pour l’acceptation d’un nom plus juste. , mais jusque très récemment ces pierres de culture ne répondaient pas aux standards d’excellence de la joaillerie. Ils ne convenaient que pour l’industrie où seule leur dureté représentait un intérêt.

Aujourd’hui, quelques laboratoires parviennent à produire des pierres dignes de la joaillerie. Ces diamants bruts créés en laboratoire sont envoyés à la taille avant d’être évalués et certifiés selon les 4C du diamant - clarté, couleur, coupe et carat - qui attestent de leur qualité. Seules les plus belles pierres sont sélectionnées pour orner des créations joaillières.

La formation d’un diamant, dans les profondeurs de la Terre comme en laboratoire, est un processus aléatoire : si le génie humain crée les conditions nécessaires à la formation du diamant en s’inspirant de la nature, celle-ci reprend son cours sans qu’on puisse la maîtriser lors de la ”pousse”.

Durant quelques semaines, le diamant grandit doucement, sans le moindre contrôle humain : le résultat est incertain, et peut comprendre des défauts et inclusions. Il est donc impossible de garantir la qualité d’un diamant cultivé en laboratoire à l’avance, et encore moins de les produire à la demande. C’est là que réside la magie de cette prouesse scientifique, qui met la technologie de pointe au service de ce que la nature a de meilleur à nous offrir.

Comme dans la nature, les pierres blanches sont les plus pures et brillantes, mais aussi les plus rares, extrêmement difficiles à créer en laboratoire. Ce sont celles-ci que COURBET sélectionne avec soin pour sertir ses collections et proposer une joaillerie nouvelle qui marie excellence joaillière et sourcing high-tech.

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